Synopsis :
S’agit-il de l’épiphyse (extrémité articulaire renflée d’un os long, constituée d’une masse de tissu spongieux recouverte d’une lamelle de tissu osseux compact) ou bien de l’épiphyse (glande endocrine de la grosseur d’un pois, de forme conique – d’où le nom de glande pinéale qui lui est souvent donné, à cause de sa ressemblance avec une pomme de pin) ?
Est-il plutôt question d’épiphysite (inflammation de l’épiphyse, ou cyphose douloureuse des adolescents) ?
Parle-t-on ici d’épiphyte (plante croissant sur une autre plante, mais sans la parasiter) ou d’épiphytie (maladie épidermique des plan-tes) ? D’un épi, d’une pythie, d’Éphèse et de son Temple de Diane ?
Rien de tout cela. Il est seulement question d’epiphisis.
Quel rapport avec la Vierge Marie ou l’Archange Saint Michel ? Phil Terval, ébloui par l’étoile de Pierre, pierre-du – pardon, perdu – dans les souterrains de sa bibliothèque où il croise si peu d’enfants sages, ferait-il sa crise mystique ?
C’est ici, ami lecteur, un livre finalement très peu mystérieux. Il y est juste fait mention d’une certaine trouvaille numérique qui, d’aiguille en fil et de fil en quenouille, nous conduit sur les sentiers tortueux et difficiles de l’aventure, avec un tout petit a, de ce genre de a dont on dit parfois qu’il égale x quand on lui ajoute b…
Synopsis :
Années 60. Placé en pension après la séparation de ses parents, Pier, dix ans et demi, afin de se mettre « à l’abri de la laideur du monde », s’est réfugié dans la connaissance.
Mathématiques, physique avancée, musicologie, cosmologie, biologie, aucun domaine du savoir ne semble échapper à cet enfant trop doué, trop sensible.
Mais la science est-elle suffisante et, d’ailleurs, à quoi sert la connaissance ?
Construite et racontée comme une sonate – plusieurs variations sur un thème principal – l’histoire de l’Enfant-sage est celle de la recherche d’un père spirituel et des réponses aux questions brûlantes que Pier se pose.
Comment parviendra-t-il au terme de sa quête ?
Synopsis :
Enfant abandonné, Thomas a été élevé par les Frères du Monastère Blanc, perdu dans la Forêt Immense, en bordure de la Ville. Devenu jeune homme, il découvre dans le monastère un vieux papyrus évoquant un lieu mystérieux. Il décide alors de gagner la Ville afin de recueillir des indices pour le retrouver.
Au cours de sa mission, allant d’embûches en découvertes inattendues, Thomas croisera le chemin d’étranges personnages : Pahrforss le diabolique, le sombre Roche, le professeur Tikin ou encore Xiao Yè, la jolie Chonkienne.
Lequel d’entre eux sera-t-il à même de l’aider ? A moins que Varnie, la machine intelligente, connaisse le secret perdu ?
Dans sa quête de la connaissance et de la compréhension du monde, évoluant dans un monde étrangement décalé, sorte de jeu d’aventure mis en abyme, Thomas ne devra-t-il compter que sur lui-même ?
Synopsis :
― Ce livre, Geneviève, vous l’avez lu ?
― Oui. Il contient des informations… difficiles à croire.
Un voile ternissait l’eau claire de ses yeux.
― Ensuite, je vous ai vu dans le train et je vous ai reconnu, d’après la description des deux inconnus. Mais j’ai eu peur. Je me suis enfuie, en espérant que vous ne descendriez pas à cette gare, que vous ne me rattraperiez pas. J’ai eu peur en me rappelant ce que j’avais lu dans ce livre, sur cette… organisation qui serait capable de…
Elle se tut brusquement, le visage en déroute.
― Capable de quoi, Geneviève ?
Bergerac