Marie-Laure RIVIÈRE

Je vis en Bretagne depuis dix-neuf ans, même si je ne suis pas bretonne d’origine. Je suis née et j’ai grandi en région parisienne, où s’est éveillé très tôt mon goût pour la lecture et les mots. Après des études de lettres à la Sorbonne, puis un DEA de lettres modernes à Toulouse, j’ai longtemps partagé mon temps entre littérature et vie professionnelle.

Depuis dix ans, je travaille au cinéma associatif L’Image à Plougastel-Daoulas, où j’occupe le poste de technicienne de cinéma. J’y suis entrée comme projectionniste bénévole, à l’époque où l’on montait encore les bobines de films en 35 mm — une expérience qui m’a profondément attachée à l’univers du cinéma et des histoires qu’il raconte.

Mère de famille et passionnée de littérature, je n’écris pas chaque jour, mais il me serait impossible de ne plus écrire. La nouvelle est ma forme de prédilection — fantastique, horrifique, historique ou simplement ancrée dans le réel. J’aime la concision et l’intensité qu’elle exige. Mon maître en la matière reste Richard Matheson, romancier et nouvelliste dont j’admire la puissance d’évocation et le sens du mystère.

ses parutions

Synopsis :

« Péché mignon » : cocktail à base de crème et de nectar de pêche additionnés de vin mousseux, de rhum ou de vodka.

C’est ce que vous trouverez dans ce recueil : de la douceur – mais un peu sournoise ; de l’onctuosité – mais assurément perverse ; une certaine perte des sens – mais avec beaucoup d’âpreté.

Douceur de l’amour, même quand il se teinte de folie ; onctuosité des rapports humains, même lorsqu’ils sont hypocrites ; âpreté de la mort, même quand elle se teinte d’humour.

Par dessus tout, l’ivresse de s’adonner sans remords à ses « mignons péchés »…

Synopsis :

Le fantôme d’un petit garçon qui aide et protège des enfants condamnés par la maladie. Un écrivain fou de désespoir parce qu’il ne fait que reproduire mot pour mot les oeuvres d’auteurs plus prestigieux que lui. Une équipe de jeunes basketteurs « hors jeu » mais pas pour les raisons que l’on croit. Une petite fille inoffensive qui s’invente un ami imaginaire très féroce…

Voilà quelques-unes des vingt nouvelles fantastiques réunies dans ce recueil. Laissez-vous guider pour votre plaisir au travers de ces fictions parfois cruelles, énigmatiques mais aussi touchantes.

Parce que nous savons que, vous comme moi, nous avons tous eu un jour de très mauvaises intentions.

Synopsis :

L’amour est au cœur des vingt nouvelles de ce recueil : amour maternel, conjugal, amour balbutiant ou cimenté par les années. Amour filial, surtout, qui se décline en genres et en teintes diverses : SF, fantastique, historique, sont les voix choisies pour dire avec gravité, humour et bien sûr tendresse la difficulté à raconter ce lien aux fils si intimement tissés.

Marie-Laure Rivière vit et travaille en Bretagne dans un cinéma associatif du Finistère. Après De très mauvaises intentions, (Ed.Assyelle, 2020), Quelque chose de plus tendre est son second recueil de nouvelles.

événements - dédicaces

Marie-Laure Tonnini-Riviere participera aux rencontres littéraires « Voix d’autrices », les 14 et 15 novembre 2025 à Brest. Cet événement, co-organisé par Ell’à Brest, la Librairie-café Elizabeth & Jo et l’Auberge de jeunesse de Brest, a pour objectif de faire découvrir et rencontrer des autrices locales. Après le succès de l’édition précédente intitulée « Ell’à Brest », cette nouvelle édition mettra en lumière la diversité et la richesse de la création littéraire féminine en Bretagne. Une belle occasion de rencontrer Marie-Laure Tonnini-Riviere et d’échanger autour de ses œuvres et de son parcours d’autrice.

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