Marie-Mad MARTINEAU

Marie-Madeleine Martineau, née Holveck à Strasbourg dans l’euphorie de l’après-guerre, vit désormais dans la plaine de Vaugirard, aux portes de Paris, où elle retrouve le plaisir de se souvenir à l’occasion de ce troisième roman. Formée à Strasbourg à un français académique pour effacer les traces germaniques de son hérédité, elle a exercé pendant quarante ans dans les métiers de l’écrit au service du public, apprenant la concision, tout en travaillant dans le secteur social, qui lui a ouvert le champ de l’observation et de la rencontre. Après la naissance de ses petits-enfants, elle a redécouvert les couleurs du monde des histoires… jusqu’à croiser l’aventure de femmes qui l’a menée vers des récits au sens fort, des récits à partager.

ses parutions

Synopsis :

Ce témoignage romancé pose avec humour la question des migrations, bien franchouillardes, qui étaient monnaie courante dans les années 1970 ; bien sûr qu’on ne « descendait » pas à Paris, mais il fallait aller dans les bistrots du bout du bout, jusqu’aux Portes, voire au-delà, pour partager des confidences…

Et quand on émergeait du métro, dans la rue de Vaugirard – cette fosse à décibels – on pouvait tomber sur Andrée-Marie Bouillant, la flamboyante. C’était elle qui avait adopté la jeune Édith Waltz et l’avait baptisée « ma cousine » ; il faut dire que la petite Alsacienne avait absolument besoin d’une Parigote, de son culot, de ses bons mots, de ses scoops pour réussir son pari de Paris, mais jamais elle n’aurait imaginé que sa Dédée cachait tant de secrets, de mystères, de tours et détours…

Une histoire pleine de rebondissements qui vous invite à grimper sur les tabourets hauts, le long du zinc, et à découvrir ces vraies-fausses Parisiennes qui ont, elles aussi, apporté leur pierre à la transformation de la capitale…

Synopsis :

Elles suivaient avec acharnement leurs trajectoires jusqu’au jour où celles-ci ont basculé. Deux histoires inspirées de la vraie vie et qui se dérèglent à leur mi-temps.

Alors, devenir mère ou sombrer dans la solitude ?

Ces femmes n’ont rien en commun, l’une au sud, l’autre au nord, l’une est berbère, l’autre vosgienne, elles sont même diamétralement opposées, mais elles posent la même question : quel chemin prendre au moment fatidique ?

Dans l’imbroglio des liens du sang, dans le chaos des guerres mondiales, faut-il poursuivre ses fantasmes ou s’en remettre à la fatalité ?

Elles ont vécu au siècle dernier, à l’époque de nos parents, voire de nos grands-parents, dans un contexte qui nous est désormais étranger, elles se servent d’une langue qui peut nous paraître exotique, et pourtant elles sont proches de nous.

Qu’aurions-nous fait à leur place ? Laquelle est folle, laquelle est sage ?

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