Ecrire, c’est une façon de retrouver, par delà la communication habituelle, les mots qu’on ne peut pas partager autrement, une solitude où l’on voit plus loin et plus clair. Depuis l’adolescence, Laurence Chaudouët écrit des poèmes, des romans, des essais. Après des études de Lettres et de Philosophie, elle enseigne une quinzaine d’année au Lycée et au Collège.
Elle publie ses premières poésies en 1987, dans la revue Vivre en poésie de Jean-Pierre Rosnay. Plus tard, elle écrit son premier roman, Le roman de Petra, récit initiatique et fantastique d’un jeune garçon errant dans un pays en guerre. Puis en 2013 un recueil de nouvelles décalées, Le voisin, et une chronique acide sur la vie en hôpital psychiatrique, Le cri du homard. Son recueil de poèmes, Le cœur étranger, sort aux éditions Alcyone. En 2018 sortent un roman, Le pacte, et Les passeurs de l’ombre, recueil de nouvelles fantastiques autour du thème de l’animalité.
Elle a reçu en 2019 le prix Patrice Fath des éditions Littérales pour son recueil poétique Espérance du retour, en, en 2020, le prix Yolaine et Stephen Blanchard pour La grâce ou l’oubli. On peut lire ses textes poétiques dans les revues Voix d’encre, Comme en poésie, Décharge, Recours au poème, Littérales.
Sont sortis en 2021 un cinquième recueil, Eclats, chez Pierre Turcotte éditeur, et, en Juillet, le roman : Les petites choses, chez Az’Art Atelier éditions, roman à trois voix centré sur l’énigme d’une présumée criminelle. La nouvelle : Les fleurs, obtient le prix Pampelune 2021.
En 2022, sort aux éditions Le temps qui passe un essai sur les rapports entre l’homme et l’animal, Le monopole du sensible. L’auteure reçoit à nouveau le prix Patrice Fath pour son tout dernier recueil : Porte ouverte sur le ciel, poème
Ce que dit l’étrange espérance est paru aux éditions Assyelle en 2025